Non, la France n’est pas derrière un trafic d’organes génitaux en République centrafricaine    Algérie : Macron reconnaît "l'assassinat" de Larbi Ben M'hidi "par des militaires français"    Mpox : plus de 50 000 personnes vaccinées en RD Congo et au Rwanda    Eugène Rwamucyo condamné, Macron au Maroc, attaque de Boko Haram au Tchad : l’hebdo Afrique    En Algérie, le journaliste Ihsane el-Kadi libéré après une grâce présidentielle    Guerre d’Algérie : 70 ans après, retour sur la "Toussaint rouge"    Législatives au Botswana : le président reconnaît la victoire de l'opposition    Le Sénégal lève 300 millions de dollars sur les marchés internationaux    Tunisie : un chercheur français détenu depuis le 19 octobre sur ordre de la justice militaire    Sénégal : la caravane électorale d'Ousmane Sonko attaquée dans le centre du pays    Présidentielle ivoirienne : "C'est mon intention" d'être candidat, affirme Charles Blé Goudé    Maroc : un nouveau départ pour la France ?    Génocide Tutsi au Rwanda : Eugène Rwamucyo condamné à 27 ans de réclusion criminelle    Paris et Rabat ont noué "un partenariat renforcé" contre "l'immigration clandestine"    Au Soudan, une enquête de l'ONU sur l'ampleur "stupéfiante" des violences sexuelles    Attaque de Boko Haram : le Tchad appelle la communauté internationale à l'aide    Guinée : le pouvoir dissout plus de cinquante partis    France-Maroc : une nouvelle ère ?    Sahara occidental : Emmanuel Macron réaffirme à Rabat le soutien à la "souveraineté marocaine"    Au Burkina Faso, HRW accuse le gouvernement d'avoir exposé des civils à des attaques jihadistes    Soudan : une attaque des paramilitaires sur des villages fait 120 morts    Tchad : une attaque de Boko Haram contre l'armée fait une quarantaine de morts    Accueil royal pour Emmanuel Macron au Maroc, plusieurs contrats déjà signés    Début de la campagne des législatives au Sénégal, tous les cadors au rendez-vous    La Fesci dissoute, retour sur la puissante et violente fédération estudiantine ivoirienne    Soudan : au moins 50 morts dans une attaque de paramilitaires, selon un groupe prodémocratie    Le Mozambique sous tension après les résultats de la présidentielle, l'opposition mobilisée    Paul Biya de retour, Bougane Guèye écroué, Macron attendu au Maroc : l’hebdo Afrique    RDC : la Constitution va-t-elle changer ?

Anniversaire du Hangeul/ Une journée commémorative organisée à l’Institut Sejong d’Abidjan

Le Hangeul est l’alphabet  officiel de la Corée du Sud. Il a été  fondé  9 octobre 1446 par le Roi Sejong.  Il comporte 24 lettres dont 10 voyelles de base et 14 consonnes de base. . A l’occasion du 578e anniversaire de l’alphabet coréen, l’Institut Sejong d’Abidjan a décidé de marquer le coup  pour la première fois en  organisant  le samedi 19 octobre 2024, au Centre  Sportif Culturel et des Tics ivoiro coréen Alassane  Ouattara (CSCTICAO) des jeux  traditionnels coréens à l’attention des visiteurs qui n’ont pas boudé leur plaisir. 

Plusieurs  activités ont meublé cette journée anniversaire. On peut citer entre autres  la découverte du Hanbok,  tenue traditionnelle coréenne  qui se porte pendant les cérémonies comme le mariage,   la calligraphie ou encore le  dessin  et le jeu d’adresse appelé Jegichagi,  consistant à faire des jongles avec un volant appelé Jaegi.

Responsable aux opérations  à l’Institut King Sejong d’Abidjan depuis septembre , Mme Cho a rappelé que « tous les ans, le 9 octobre, on célèbre l’anniversaire du Hangeul,  l’alphabet utilisé pour parler le coréen. Puisqu’on est à l’institut, on est là pour célébrer cette journée.  Plusieurs activités ont  meublé cette journée. Entre autres les jeux traditionnels de la Corée du Sud en l’occurrence  le Tuho, une petite flèche que le participant doit  lancer dans un panier ou encore le Jegichagi ». 

Faisant le bilan de cette journée, Mme Cho a jugé que la plupart des participants se sont bien prêtés aux jeux et se sont dit satisfaits. Les filles et femmes présentes ont surtout apprécié de porter le Hanbok et la calligraphie.  

Après cette première édition, Mme CHO  qui avait à ses côtés  Kouamé Sandra et Mira Jeong, professeure de coréen  était très contente  de l’engouement et espère poursuivre sur cette lancée pour la promotion de la langue coréenne.

 Yao Viviane  

Agnibilékrou : Après l’intronisation du chef de village de Yobouakro /La Mutuelle dit merci au Dg du Pdci-Rda pour son implication remarquable

Après la désignation dans la nuit du vendredi 23 août 2024, de Nanan Améa Atta comme nouveau chef du village de Yobouakro , situé dans la sous-préfecture d’Agnibilékrou, et son intronisation à la place publique dudit village le samedi 24 août en présence du roi du Djuablin Nanan Tigori Gnamin et de toute la notabilité des villages qui composent le royaume Djuablin, des membres de la Mutuelle de Yobouakro sont allés dire merci au Directeur Général du Pdci-Rda, Roger M’Bia Mandodja, ex-maire de la commune d’Agnibilékrou qui avait parrainé cette cérémonie s’étant déroulée dans la pure tradition Akan (Agni).

En tant que parrain, le proche collaborateur du président du Pdci-Rda Tidjane Thiam avait non seulement offert une grande réception au village mais également avait fait de nombreux dons au nouveau chef, au village et à toute la notabilité du Djuablin ayant effectué le déplacement à Yobouakro.

Ce geste d’une très grande portée sociale restera à jamais gravé dans la mémoire des populations de Yobouakro.

Pour le remercier, le président de la Mutuelle pour le Développement Economique, Social et Culturel de Yobouakro (MUDESCY), Ban Kouao Félix et des membres de son bureau se sont rendus au domicile de leur bienfaiteur sis à la Riviera M’Badon le mercredi 9 octobre dernier pour lui traduire leur reconnaissance. Une rencontre qui s’est déroulée dans une ambiance de convivialité.

Au nom du village de Yobouakro, le président Ban Kouao Félix a dit ‘’Mo Mo Mo’’ (mille fois merci) au Dg du Pdci-Rda Roger M’Bia pour son soutien et son appui pour la réussite de cette cérémonie d’intronisation.

En réponse, l’ex maire Roger M’Bia Mandodja a fait savoir qu’en tant que fils du Djuablin, c’était un devoir pour lui de soutenir ses parents de Yobouakro et qu’il se tenait encore disponible pour accompagner tout acte de développement de ce gros village avec d’énormes potentialités agricoles.

Le collaborateur du président Tidjane Thiam a promis aider la Mutuelle pour achever les trois classes de la 4ème école du village suite à une doléance du président de la MUDESCY.

Source: L'HERITAGE

Interview/ Arsène Koffi (SG du SYNBIODECI) /« Mon plus grand défi est d’œuvrer à la mise en place de l’Ordre des Techniciens Biologie Médicale »

Arsène Koffi Kouadio est le secrétaire général du Syndicat National des Biotechnologistes Diplômés d’Etat de Côte d’Ivoire (SYNBIODE-CI). Il nous partage la vision du SYNBIODE-CI dans une interview qu’il nous a accordée. Et surtout, le défi qu’il entend relever pour mettre de l’ordre dans ce corps de métier.

Présentez-nous votre syndicat

Créé le 08 février 2023, le Syndicat National des Biotechnologistes diplômés d’Etat en abrégé SYNBIODE-CI est une organisation syndicale du secteur de la Santé, regroupant les Techniciens Biologie Médicale, les Ingénieurs des Techniques Sanitaires en Biologie Médicale. Régie par la loi N° 2015-532 du 20 juillet 2015 portant code du travail, le SYNBIODE-CI se voudrait un outil de communication, de régulation, de revendication et de plaidoyer au service des Biotechnologistes, des agents de la Santé en général et du Gouvernement. Nous sommes présents dans les régions et districts sanitaires de la Côte d’Ivoire.

Vous venez d’organiser une assemblée générale de votre syndicat, quelles sont les résolutions que vous avez adoptées ?

L’assemblée a donné des orientations claires, à savoir : Regrouper les Biotechnologistes pour la défense de leurs intérêts matériels, moraux, pour l’amélioration des conditions de vie et de travail, conformément aux lois et règlements en vigueur. Œuvrer pour la mise en place de l’Ordre des techniciens biologistes de Côte-d’Ivoire. Promouvoir la profession de biologie médicale. Veiller à la signature et à l’application effective des décrets et arrêtés en faveur des Biotechnologistes. Lutter pour la défense des libertés syndicales. Œuvrer pour l’instauration d’un Système de Santé de Qualité et performant au service des populations et du Personnel en collaboration avec les autres partenaires de la santé. Promouvoir toutes formations professionnelles continues en facilitant notamment la participation de ses membres à tous les congrès, conférences, colloques, réunions, etc… sur le plan national ou international, pouvant servir à leur perfectionnement et leur promotion.

Dites-nous, quelle est la mission du SYNBIODE-CI ?

Le SYNBIODE-CI a pour mission de Promouvoir-Protéger-Défendre et Valoriser les Biotechnologistes de la Côte d’Ivoire. Pour y parvenir le SYNBIODE-CI offrira les services de Conseil et Assistance technique, Formation, Information, Recherche, Documentation, Revendication, Plaidoyer.

Nous constatons que des personnes qui n’ont aucune formation de technicien de laboratoire reconnue par l’Etat travaillent en toute illégalité dans les laboratoires des hôpitaux publics et les cliniques privées donnent des résultats d’examens. Quel est votre regard sur cette situation qui met en danger la vie de la population ?

C’est une situation déplorable, aujourd’hui le laboratoire est devenu la porte d’entrée de tous, vous qui êtes journaliste si vous avez un contact qui a un laboratoire, si vous y aller pour travailler, en moins d’un mois vous aller exercer en qualité de technicien de laboratoire sans êtes inquiété. Ce qui se passe dans les laboratoires est gravissime pour la santé de la population. Ces personnes rivalisent avec nous, les professionnels de santé, les techniciens de laboratoire médical diplômé d’Etat et affectés dans les hôpitaux. Ces pratiques constituent un réel danger pour l’image de notre profession. C’est la raison pour laquelle nous luttons pour la mise en place effectives de l’Odre des Techniciens Biologie Médicale afin d’assainir notre profession au risque d’être livré à la vindicte populaire. En Côte d’Ivoire l’exercice de profession de santé est soumis à une autorisation préalable du ministère en charge de la santé. Tout professionnel de santé doit procéder à son enregistrement dans le registre de sa profession de santé être détenteur d’une carte professionnelle. Pour être un technicien de laboratoire, il faut au minimum avoir le BAC suivie d’une formation de trois ans théorique et pratique. Cette formation doit absolument être reconnue par l’Etat de Côte d’Ivoire comme l’INFAS qui forme des techniciens biologistes dont le diplôme est reconnu.

Le médecin, la sage-femme, l’infirmier et autres se servent essentiellement des résultats du laboratoire pour faire le diagnostic et le traitement des patients, dans ce contexte quelle est la fiabilité des résultats des examens qui sortent des laboratoires ?

Les Techniciens Biologie Médicale, les Ingénieurs constituent un maillon indispensable dans la chaîne de soin et de la prise en charge sanitaire des patients dans les hôpitaux. Aujourd’hui avec cette situation, il se pose un véritablement un problème de fiabilité de résultats dans certains laboratoires. Il faut assainir notre profession. A cet effet, nous avons entrepris des démarches auprès du Ministre de la Santé, de l’hygiène public et de la couverture maladie universelle. Nous avons posé le problème au Conseiller Technique du Ministre Pierre N’gou Dimba. Il nous a rassuré que le Ministre allait mettre tout en œuvre afin d’assainir notre profession. Nous lui avons la nécessité de la mise en place de l’Odre Techniciens Biologie Médicale. Nous avons également échangé avec la Direction des Etablissements Privés et des Professions Sanitaires(DEPPS) qui est véritablement disposé à la mise en place de l’Ordre des Techniciens Biologistes. La direction a promis de nous convier à des séances de travail dans le cadre de la mise en place du registre de la profession de technicien biologiste en vue de règlementer l’exercice dans notre domaine.

Nous assistons à la privatisation des laboratoires dans des hôpitaux publics, qu’est ce qui explique cela ?

Je constat que vous êtes très bien informer des difficultés que nous traversons. Vous savez, le laboratoire rapporte beaucoup d’argent et certains dirigeants des hôpitaux préfèrent en faire leur chasse gardée, ils emploient des personnes non qualifié qui sont payé de façon dérisoire. Même pour les sous-traitances qui exigent la compétence des techniciens supérieurs de santé c’est l’anarchie. Le directeur de centre de santé signe un contrat avec un particulier et celui-ci prend le contrôle de la gestion du laboratoire, il fait venir ses employés qui ne sont pas qualifié a exercé en qualité de technicien de laboratoire. On ne sait pas par quelle magie mais il s’arrange à faire muter le professionnel qualifié qui y travail afin d’exercer en roue libre alors que l’objectif primaire d’un centre de santé n’est pas d’engranger des recettes. Le décret n 98-379 du 30 juin 1998 définit les conditions générales d'exercice des activités privées dans un centre de santé publique.

Nous constatons que le technicien biologiste n’est pas assez connu par la population, Quelle action vous comptez mener pour faire la promotion de votre profession ?

Nous allons organiser les Awards des Biotechnologistes de Côte d’Ivoire, une cérémonie de célébration et de récompense et de remise de prix aux meilleurs techniciens biologistes et ingénieurs en présence de la presse. Ces Awards auront un double enjeu : faire la promotion de notre profession et promouvoir l’excellence auprès des Biotechnologistes. Nous serons également présents au grand rendez-vous professionnel pour parler de notre profession.

Quel est le plus grand défi du SYNBIODE ?

Mon plus grand défi en tant que secrétaire général du SYNBIODE-CI est d’œuvrer à la mise en place de l’Ordre des Techniciens Biologie Médicale.

Réalisé par JMG

Autonomisation et épanouissement de la femme / Maman Béké Bénédicte investie première présidente des Sœurs Caviars Blancs de Côte d’Ivoire

Belle ambiance samedi 24 Août dernier à l’espace publique de Moossou. La raison, les femmes y ont afflué nombreuses pour la cérémonie d’investiture de la première présidente de leur organisation dénommée ‘’ Les Sœurs Caviars Blancs de Côte d’Ivoire ».

Créée depuis le 1er mars 2024, l’association les Sœurs Caviars Blancs de Côte d’Ivoire (SCB-CI) regroupe plus de 60 femmes issues de toutes les couches sociales, ethniques, religieuses et politiques. C’est une organisation apolitique qui a pour objectif principal d’aider les adhérentes à être autonomes financièrement et à s’épanouir à travers les actions suivantes : Organiser des épargnes modernes pour faciliter l’autofinancement local, encourager l’entrepreneuriat ou la création d’activités, aider à la diversification et au développement de toutes les activités existantes, mettre en place des formations utiles et nécessaires pour ses membres, partager les expériences, renforcer les liens de solidarité et de cohésion ; promouvoir le pagne dans toute sa splendeur et sous toutes ses formes, organiser des sorties détentes…

Une initiative de solidarité et de progrès saluée par la marraine Kamagaté Amy, qui n’a pas manqué d’encourager ses mamans et sœurs.

A son tour de parole, la toute première présidente des Sœurs Caviars Blancs de Côte d’Ivoire a rappelé ceci : « Ensemble, nous sommes une force puissante, une source d'inspiration et un exemple de réussite pour toutes les femmes qui aspirent à réaliser leur plein potentiel. Seule, nous sommes vulnérables, ensemble nous faisons des merveilles ».

Quant à la secrétaire de ladite organisation, Yao Odette, elle a rappelé ceci : « Nous sommes réunis en ce jour 24 août 2024 pour marquer l'investiture de maman BéKé Bénédicte, en tant que première Présidente de notre association les Sœurs Caviars Blancs de Côte d’Ivoire. C'est un moment de grande importance, un moment qui restera gravé dans nos mémoires comme le début d'une nouvelle ère de liberté et d'inspiration. En tant que membres de cette association, nous sommes témoins d'un moment unique et précieux. Nous avons l'obligation de soutenir, d'accompagner et de respecter maman Béké Bénédicte dans sa mission de guider notre organisation vers un avenir prometteur où l'égalité, la diversité et l'inclusion sont au cœur de nos actions, en un mot vers l’autonomisation et l’épanouissement de ses membres ».

Et d’insister : « aujourd'hui, nous célébrons non seulement l'ascension de maman Béké Bénédicte à la présidence, mais aussi la force collective et la solidarité qui unissent toutes les femmes de notre association. Ensemble, nous sommes prêtes à écrire un nouveau chapitre de notre histoire, un chapitre de progrès, d'accomplissement et d’autonomisation. »

Les femmes heureuses d’être membres à cette organisation ont toutes rassuré la présidente Maman Bénédicte dite ‘‘Dix giga’’ de leur soutien total.

Il fallait noter à cette cérémonie, la présence distinguée des chefs traditionnels et religieux venus apporter leurs bénédictions à leurs sœurs, femmes et mamans à l‘occasion de cette initiative salutaire.

Etienne Atta

Côte d’Ivoire :Agnibilékrou/ Intronisation du nouveau chef du village de Yobouakro, Le Dg du Pdci-Rda Roger Mandodja M’Bia va honorer le royaume Djuablin

Le royaume Djuablin va vivre une ambiance particulière demain samedi 24 Août 2024. Et pour cause, le village de Yobouakro, situé dans la sous-préfecture d’Agnibilékrou sur l’axe Assuamé-Bangoua, va introniser son nouveau chef après la disparition de Nanan Aka Emile. Une cérémonie purement traditionnelle qui sera rehaussée de la présence du roi du Djuablin, Nanan Tigori Gnamin. Mais surtout marquée par la présence effective de Roger M'Bia Mandodja, Dg du Pdci-Rda et parrain de la cérémonie.

C’est ce vaillant homme au grand cœur et en contact permanent avec les populations de son département que les populations de Yobouakro ont choisi pour parrainer cette cérémonie attendue par tous. Avec lui, de nombreux cadres de la région de toutes obédiences politiques, ont annoncé leur présence auprès des fils et filles de Yobouakro qui se sont mobilisés autour du président de la mutuelle Banh Kouao Félix pour la réussite de l’événement.

C’est donc sans hésiter que le Directeur général du Pdci-Rda par ailleurs ex maire d’Agnibilékrou, Roger M’bia Mandodja a accepté de parrainer cette cérémonie d’une importance capitale pour la cohésion et l’union à Yobouakro en particulier et dans le royaume Djuablin en général.

Il a promis venir en compagnie de l’honorable Boignini Kouassi avec plusieurs cadres, élus et opérateurs économiques originaires des autres villages du Djuablin et même d’ailleurs.

Pour la réussite de l’évènement, le président de la Mutuelle Banh Kouao Félix et son équipe sont déjà à Yobouakro pour les derniers réglages.

L’honorable Assouan Bahi, Koffi Ahimou François (Otis), Ahua Kouakou, Tanoh Monique, Dr Ahimou, Aman Koffi Olivier… tous membres du bureau de la Mutuelle, la jeunesse du village, les femmes et les autres communautés ethniques vivant dans le village sont à pied d’œuvre pour faire de cette cérémonie un véritable succès qui sera gravé dans la mémoire des ‘‘Yobouakrolais’’.

Il est bon de signaler que Yobouakro est situé à une vingtaine de kilomètres d’Agnibilékrou. Un village carrefour qui regorge de potentialités agricoles et un pôle important d’élevage de volaille.

Malheureusement, l’accès à ce village relève d’un véritable parcours du combattant. Le tronçon à partir d’Assuamé est quasiment impraticable. Les populations attendent un geste de l’Etat de Côte d’Ivoire à travers le Conseil régional pour sortir du désenclavement.

Cette cérémonie intervient après l’inhumation du chef intérimaire Brédou Kabran le vendredi 23 Août 2024.

Source: L"HERITAGE

Médias/ La 7e édition du Challenge social fondation LONACI lancé

C’est reparti pour la 7e édition du Challenge social  fondation LONACI.  Espace d’expression de talent journalistique, ce concours célébrant l’excellence et la solidarité  a été lancé, dans un contexte de  deuil,  par le PCA de la Fondation LONACI, Dramane Coulibaly ce lundi 19 août 2024,  dans un hôtel à  Marcory . C’était en présence du Directeur exécutif et de la Directrice des actions sociales de la Fondation LONACI, du président du COMICI, Victor Yapobi, des membres du CODIR et du Directeur adjoint de la Fondation.  Ouvert aux hommes de médias, ce rendez-vous annuel auquel le PCA accorde un grand intérêt  est doté de la bagatelle  de 1500 000 Fcfa  pour le lauréat et 500 000 FCFA   et 250 000FCFA respectivement pour le 2e et le 3e.  Véritable plaidoyer,   chaque article, au dire du PCA,  concourt au mieux-être des populations.

Président du jury de ce concours de journalisme dédié à la promotion des actions sociales et citoyennes, Dosso Boubacari, s’est réjoui de ce que le Challenge social Fondation LONACI compte aujourd’hui dans le paysage médiatique en Côte d’Ivoire. Précisant que la période de soumission part de ce lundi 19 aout au 24 novembre 2024, le président du jury a rappelé les conditions de participation. Selon lui, «  ce concours est ouvert aux journalistes de la presse imprimée, de la presse numérique et  des médias audiovisuels justifiant de la carte d’identité de journaliste professionnel. Les journalistes candidats sont invités à envoyer au jury une copie  de leur reportage publié ou diffusé entre le début et la fin des soumissions avec des justificatifs. Toutefois, a-t-il précisé, le jury peut s’autosaisir c’est-à-dire qu’au cours des monitorings,  si un courrier de belle facture est observé, il est pris en compte dans le concours Les caractéristiques des publications doivent  relever de grands genres journalistiques c’est à dire le reportage, l’enquête et l’interview. Des articles qui doivent respecter le code d’éthique et de déontologie en Côte d’Ivoire». Le jury,  constitué de quatre membres, aura la lourde tâche de désigner  le prochain lauréat qui recevra son prix au cours d’une cérémonie prévue le 23  janvier 2025.

Patricia Lyse    

 

S'abonner à ce flux RSS
xxx