Niger: clap de fin pour la France ?    Le retrait des troupes françaises au Niger, ultime camouflet pour la France au Sahel    Au Burkina Faso, la junte au pouvoir suspend le magazine français Jeune Afrique    Au Mali, la junte annonce différer la présidentielle prévue en février 2024    Inondations en Libye : le procureur ordonne la détention de huit responsables    Niger : la fin de la coopération militaire décryptée par Richard Werly    Le Niger interdit son espace aérien à tous les avions français    Mali : festivités de la fête nationale annulées, deux morts à Tombouctou    Ce qu'il faut retenir de l'actualité africaine de la semaine du 18 septembre    En exil, l'ex-président centrafricain François Bozizé condamné à la perpétuité pour "rébellion"    Séisme au Maroc : après le tremblement de terre, le Haut-Atlas pleure ses morts    Raymond Ndong Sima, Premier ministre gabonais de la transition : "C'est un coup d'État salutaire"    Patrimoine mondial de l'Unesco : des mémoriaux du génocide des Tutsi au Rwanda inscrits sur la liste    Rwanda : Paul Kagame candidat à l'élection présidentielle de 2024    En Éthiopie, les enquêtes sur les crimes de guerre dans l’angle mort  ?

Célébration des 50 ans de l’école la Farandole internationale / Le gouvernement ivoirien salue la qualité de l’enseignement

1973-2023, cela fait 50 ans que la Farandole Internationale, à l’origine un petit jardin d’enfants aux II Plateaux, existe. Et ça se fête.

La cérémonie officielle des festivités marquant le cinquantenaire de cet établissement de renom fondé en 1973 par l’Ivoirien Jules Ahouzi et son épouse Nicole Ahouzi a démarré le vendredi 22 septembre dernier en présence du ministre de la communication et de l’économie numérique, Amadou Coulibaly.

Prenant la parole, le ministre Amadou Coulibaly a salué l’expérience de cette école qui a adopté à la fois les systèmes français et ivoiriens au primaire et au secondaire, sans oublier qu’elle aborde aujourd’hui le supérieur. Cette école symbolise les relations séculaires entre la France et la Côte d’Ivoire, a-t-il souligné avant de poursuivre : « tout le monde a salué les relations entre la France et la Côte d’Ivoire. Je pense qu’il n’y a pas meilleur lien qu’une relation matrimoniale que vous symbolisez, ce couple qui fortifie les relations entre la France et la Côte d’Ivoire. (….) vous avez formé des gens de divers horizons, c’est ça qui fait la magie de l’école, le fait de former des gens de milieux différents ».

Le porte-parole du gouvernement ivoirien a insisté sur le fait qu’il faut saluer la vision, le rêve, l’ambition d’un jardin d’enfant devenu un lycée et puis un cycle baccalauréat. Il a conclue qu’à « 50 ans, la Farandole internationale reste l’enfant de l’amour, l’enfant des rêves. Il a aussi salué la résilience de cette école qui a su relever les défis du temps’’.

La cérémonie était parrainée par René Yédiéti, PDG du groupe Librairie de France. Qui a indiqué la nécessité pour la Côte d’Ivoire « d’avoir des enfants bien formés comme ceux qui sont formés à l’international ».

Alain Ahouzi, directeur général de l’établissement, a traduit sa reconnaissance à tous pour avoir fait de cette cérémonie de lancement un moment spécial des festivités qui s’étendront jusqu’au 1er juin 2024. Il a remercié les amis, partenaires, parents d’élèves et les enseignants qui ont été toujours là pour la poursuite de l’excellence de l’école.

Le proviseur, Michel Fourcade, a fait savoir que « ce temple du savoir a formé des milliers de jeunes qui contribuent toujours à la construction de notre nation et de notre communauté » Pour lui, pour suivre un chemin de 50 ans, « il faut beaucoup d’imagination. » Le résultat de l’enseignement, a-t-il dit, en citant A. Camus, « ce n’est pas de bourrer un sceau mais d’allumer un feu ».

Cette cérémonie s’est achevée dans une véritable bonne ambiance de fête.

Source: L'HERITAGE

Gestion des déchets solides en Côte d’Ivoire / Le CVET de Kossihouen présenté aux journalistes

- 125.000 tonnes de déchets reçus par mois

Jeudi 21 septembre 2023, 2ème jour du séminaire de formation des journalistes sur la gestion des déchets solides en Côte d’Ivoire particulièrement dans le district d’Abidjan, au siège de l’Agence Nationale de Gestion des Déchets (Anaged), les hommes des médias se sont rendus à Kossihouen sur le site du Centre de Valorisation et d’Enfouissement Technique ainsi que les centres de transfert d’Anguédédou 1 et 2.

Une visite qui leur a permis de découvrir les réalités de l’évacuation de tous les déchets collectés dans le district d’Abidjan. Les hommes des médias audiovisuel et presse écrite, une trentaine environ, ont sous la supervision des responsables de l’ANAGED, visité le Centre de valorisation et d’enfouissement technique (CVET) de Kossihouen et les deux Centres de transfert d’Anguédédou.

A Kossihouen, les professionnels des médias ont appris que le Centre réceptionne, en moyenne, 4.200 tonnes de déchets solides par jour soit 125 000 tonnes par mois.

Le CVET a pour missions, selon la première responsable Nadège Yatté, le traitement des déchets solides, du Biogaz et du Lixiviat, qui est le liquide qui suinte des déchets. Le Lixiviat, selon les spécialistes, est transformé en Permea (eau distillée utilisée pour l’arrosage des voies du Centre, le lavage des véhicules et parfois pour les toilettes) et en Concentra (reste de Lixiviat qui retourne dans le circuit pour être transformé en Permea).

Le CVET ne traite pas les déchets médicaux, encore moins les déchets radioactifs. En cas de détention de la dernière catégorie citée, une structure spécialisée est contactée, ramasse ces déchets et fait le nécessaire.

Quand ce sont des cadavres qui sont retrouvés dans les ordures, la Gendarmerie est alertée pour le constat et le reste de la procédure en la matière. Au CVET de Kossihouen, seuls les véhicules des entreprises Ecoti SA et Eco Eburnie sont autorisés. Une bonne approche de la pesée, de la torchère, des casiers, des stations de pompage du Lixiviat et des cuves de Permea et de Concentra, a mis fin à cette visite. Suivront les passages aux Centres de transfert d’Anguédedou 2 et 1, respectivement gérées par Ecoti SA (Abobo, Anyama, Cocody, Bingerville et Plateau) et Eco Eburnie (Yopougon, Songon, Adjamé, Attécoubé, Marcory, Treichville, Koumasi et Port-Bouët). De ces visites, les journalistes ont pu comprendre que le Centre de transfert vise à optimiser la collecte des déchets, en vue de leur transport à Kossihouen. Selon Tarek Mallek du Centre d’Anguédedou 2, 1.600 tonnes de déchets sont réceptionnées au quotidien.

Mis dans des coffres et pesés, ces déchets sont transférés au CVET de Kossihouen, où ils seront traités.

Au classement des communes produisant le plus de déchets, Cocody arrive en tête à Anguédedou 2.

Chez le voisin, après une visite du site, le fonctionnement est quasi-identique. Ici, le Marché Gouro (Adjamé) remporte la palme, avec une fourchette de 5 à 7 tonnes de déchets produites au quotidien. Yopougon Magasin, centre de pré-collecte, est également un gros producteur de déchets, selon les responsables de Anguededou 1.

Les deux centres de transfert se réjouissent aujourd’hui de la fin des travaux d’élargissement de la voie de la prison civile, qui va leur faire gagner du temps et les rendre plus efficaces. Il faut noter qu’à a fin du séminaire un réseau de professionnels des médias engagés pour la salubrité a été mis en place en vue de mieux sensibiliser les populations.

Etienne Atta

48 heures après l'attaque de la Cité Mermoz / Des explications qui présagent d’une nouvelle crise à la FESCI

Délogé de sa chambre puis expulsé de la résidence universitaire par certains de ses camarades fescistes lors de l'attaque de la cité Mermoz, à Cocody, dans la nuit du dimanche 10 septembre 2023, le secrétaire à la formation idéologique du bureau exécutif national de la Fédération Estudiantine et Scolaire de Côte d'Ivoire (FESCI), Patrick Oré dit Nl Gbi Kassaraté a joint hier la rédaction pour donner les détails de cette affaire où il est accusé de vouloir renverser le leader de la structure, Allah Saint Clair.

D'après ce que Patrick Oré a raconté, l'attaque a été perpétrée contre sa personne. Il a fait savoir que le commando mis sur pied pour le traquer était conduit par l’un de ses collègues du BEN de la FESCI . A l'en croire, ce commando l'a expulsé de la cité en répression d'une supposée tentative de putsch orchestré contre le Général Allah Saint Clair (Makélélé). Le désormais "banni de la Cité Mermoz" affirme être victime d'une fausse accusation avec un certain nombre de camarades qui partagent les mêmes idéologies syndicales que lui. "Les accusations portées contre ma personne sont de nature à ternir mon image et à créer une diversion sur la chose essentielle de cette affaire. Ce n'est pas à deux mois et demi de la fin d'un mandat qu'on conspire pour renverser un pouvoir à la FESCI", a-t-il déclaré d'entrée.

Et d'expliquer, ''Conformément aux statuts et règlements de la structure, j'ai juste demandé sur notre plateforme (le groupe WhatsApp réservé uniquement aux membres du bureau exécutif national) qu'on songe à convoquer une assise du BEN pour trouver les dates et mettre sur pied le comité d'organisation du prochain congrès qui doit se tenir en décembre 2023. Car selon ces textes, les congressistes sont convoqués un mois avant les élections par le comité d'organisation pour choisir le thème du congrès puis débuté les préparatifs.

En effet, le deuxième mandat du Général Makélélé prend fin en décembre et celui-ci ne peut plus rempiler. Loin de moi des velléités de putsch, je n'ai fait qu'attirer l'attention des uns et des autres de ce que le temps presse pour respecter le délai de décembre, mois auquel nous organisons généralement nos congrès''. Soupçonnés comme Patrick Oré de conspirer pour renverser le patron de la FESCI, deux autres étudiants ont été également entendus par le journal en ligne. Ce sont Guero Armel Landry dit Nl Nakata et Elysée Koffi dit Nl Sharon qui ont chacun un mobile. Lors du remaniement du bureau de la FESCI en août dernier, le premier a été rétrogradé de la place de Secrétaire général adjoint 1 au poste de SGA2.

Le second qui était sous sanction avant la constitution de ce nouveau bureau a perdu son poste initial de 2 ème secrétaire général adjoint pour être définitivement éjecté de ce qui apparaît probablement comme le dernier gouvernement de l'organisation syndicale sous l'ère Makélélé.

A leur niveau, chacun d'entre eux a battu en brèche les accusations portées contre leur personne. Allah Saint Clair a été contacté pour équilibrer davantage l'information. Mais en vain, il n'a répondu à aucun des appels téléphoniques encore moins aux nombreux messages qui lui ont été adressés. Une source bien introduite dans la structure a fait part de ce que Makélélé animera une conférence de presse au Campus de Cocody le mercredi 13 septembre 2023, pour parler de plusieurs questions relatives à l'école ivoirienne.

Ça sera sans doute l'occasion rêvée pour lui arracher quelques mots sur ces échauffourées. En tout cas, ces éléments déjà évoqués laissent présager d’une nouvelle crise au sein de la FESCI; ce, à moins de 3 mois du congrès en question.

D.A

Compétences de leadership au profit des affiliés : L'UITA-CI accentue la formation de ses responsables syndicaux

Les membres des bureaux de la Coordination de l'Union Internationale des Travailleurs de l'Alimentation, de l'Agriculture, de l'Hôtellerie-Restauration, du Tabac et des Branches Connexes de Côte d'Ivoire (UITA-CI) ont pris part à un séminaire de formation sur les compétences de leadership au profit des affiliés, le mercredi 6 septembre 2023, à l'Hôtel Galaxy sis à Abidjan Cocody-Riviera Golf.

Venue tout droit de la capitale du Ghana (Accra) pour animer ce séminaire de formation, la Coordinatrice régionale des femmes de l'UITA, Adwoa Sakyi, a apporté plus de précisions sur l'activité, au moment de la pause café.

''Je suis en Côte d’Ivoire, parce que le pays bénéficie des projets de l'UITA. En effet, ma responsabilité est d'échanger avec les bénéficiaires afin de m'assurer de leur compréhension des projets qu'ils exécutent. Deux projets sont en cours d'exécution actuellement dans le pays, notamment le projet des femmes et le projet en rapport avec l'éducation syndicale et la santé-sécurité au travail. Je veux également m'assurer du degré de coordination entre ces deux projets en cours d'exécution, dans l'intérêt des travailleurs en Côte d’Ivoire'', a expliqué celle qui pilote des projets pour le compte de 14 pays africains.

Et de poursuivre, ''Le présent atelier est donc une formation sur les compétences de leadership au profit des affiliés de l'UITA en Côte d’Ivoire. Il réunit des membres du Comité des Femmes, ainsi que des membres du Comité National de Coordination. Au travers de cette formation, ils auront une meilleure compréhension des deux projets en cours d'exécution, afin que les travailleurs en Côte puissent en tirer profit''.

Adwoa Sakyi a tenu à souligner que les participants à l'atelier en question représentent les travailleurs du secteur agricole, du secteur de la banane, de l'hôtellerie, de l'économie informelle, du secteur forestier appartenant à différents syndicats. Comprendre comment ceux-ci travaillent ensemble; comment ils luttent de façon collective pour défendre le droit des travailleurs : c'est cela en d'autres termes l'objectif de l'activité du jour selon toujours la syndicaliste chevronnée.

Tout comme leurs autres camarades séminaristes, Issoufou Soro et Eugénie Silloué, respectivement Coordinateur général d'UITA-CI et Coordinatrice d'UITA-CI "projet femmes 60-567", ont traduit leur enthousiasme par rapport à cet atelier de formation.

Ce cadre d'échanges fut pour eux, une occasion de recevoir encore plus d'enseignements et un moment de partage d'expériences nécessaires à la poursuite de leur mission.

D.A

Lutte contre les paiements des inscriptions scolaires via uniquement TrésorMoney / TrésorPay : Le CEECI change de fusil d'épaule

Dans une interview accordé au confrère "Africanewsquick.net'', le lundi 11 septembre 2023, le secrétaire général du Comité des Elèves et Etudiants de Côte d'Ivoire (CEECI), Ouattara Klebien Jacob dit NL Guevara, entend donner, les jours à venir, une suite à la lutte contre le paiement des inscriptions scolaires via uniquement les services étatiques TrésorMoney-TrésorPay au détriment des opérateurs privés (Orange, MTN, Moov et Wave).

Lors de cette interview, Ouattara Klebien Jacob a annoncé une rencontre entre les autres structures sœurs et la sienne qui se tiendra jeudi prochain dans les locaux de l'Université Alassane Ouattara (Bouaké).

A cette occasion, il s'agira selon lui, de trouver entre syndicalistes militant pour l'intérêt des élèves et étudiants, la meilleure stratégie pouvant leur permettre d'atteindre l'objectif de la lutte en question. Mettre sur pied une commission intersyndicale pour ouvrir des négociations avec le MENA afin de mieux faire valoir leurs arguments, c'est cala en mot, le but des conclaves de Bouaké du jeudi 14 septembre prochain.

A l'en croire, l'option "d'en découdre" ou "de croiser le fer" avec le ministère de tutelle pour donner une suite favorable à leur requête n'est pas à l'ordre du jour.

En tout cas, par rapport à la dernière déclaration que sa structure avait produite à ce sujet le 26 août dernier, le patron du CEECI a changé de fusil d'épaule. ''Nous avons toujours été en de bons termes avec la ministre de l'Education nationale et de l'Alphabétisation, Mariatou Koné, raison pour laquelle nous privilégeons la voie du dialogue pour la résolution de ce problème'', a-t-il expliqué.

Nl Guevara a soutenu qu',''il n'y est dans l'intérêt d'aucun syndicat et des élèves de voir les activités scolaires être perturbées par des grèves, marches, Sit-in et autres actions de revendication''. Si les choses se déroulent comme Ouattara Klebien Jacob envisage désormais les aborder, les syndicalistes auraient donc de ce fait offert une année de joker à Mariatou Koné et ses collaborateurs du MENA pour faire face à la question au moment des inscriptions de la rentrée scolaire 2024-2025.

La quasi-totalité des organisations syndicales d'élèves et étudiants avait crié au loup face à "l'obstination de la ministre à continuer d'autoriser les paiements des inscriptions scolaires via les opérateurs privés Orange, MTN, Moov et Wave. Ces syndicats reprochaient à Mariatou Koné de n'avoir pas respecté un engagement : celui de n'utiliser que les services étatiques mentionnés plus haut pour lesdits paiements.

D'aucuns ont même subi les actions répressives de la police nationale à la Cité administrative du Plateau lorsqu'ils tentaient de donner un coup de pouce à leur requête via un Sit-in prévu de se tenir au MENA. C'est le cas de l'ANECI, l'UNESCI, l'AGEECI, la FNEPTCI et la FETEPCI qui avait vu à eux tous, une vingtaine de leurs militants gazés à bombe lacrymogène puis arrêtés à cette date là du jeudi 20 juillet 2023.

Sercom

Religion/Inauguration de la ‘’Cathédrale des Miracles’’ à Attoban :Une étape mémorable dans l'histoire de l'Église Ambassade des Miracles

Le dimanche 10 septembre 2023 restera gravé dans les annales de l'Église Ambassade des Miracles à Cocody -Attoban,alors que des milliers de fidèles et de personnalités religieuses se sont réunis pour célébrer l'inauguration de la majestueuse Cathédrale des Miracles. Une journée mémorable marquant la fin d'une quête spirituelle de plus d'une décennie.

Sous la vision inspirée de son fondateur, le Bishop Ouattara Mohamed Idriss, l'église a accompli l'édification de ce remarquable chef-d'œuvre architectural, bien plus qu'une simple enceinte de culte. D'une capacité de plus de 5000 places et dotée de salles polyvalentes modulables, la Cathédrale des Miracles a été conçue pour satisfaire les besoins spirituels et sociaux de la communauté, consolidant ainsi la présence chrétienne à Abidjan.

Le Bishop Ouattara Mohamed Idriss, dans un discours émouvant lors de l'inauguration, a rappelé les modestes débuts de cette aventure en 2012, lorsque lui et son épouse ont acquis un terrain personnel pour la gloire de Jésus-Christ. Malgré les nombreux défis et embûches rencontrés en cours de route, le projet a finalement vu le jour après 14 ans d'efforts acharnés et un investissement estimé à plus d'un milliard de francs CFA.

L'histoire de la Cathédrale des Miracles est un témoignage vivant de la foi inébranlable et de la persévérance du fondateur et de sa communauté. Le Bishop a cité Jacques 1 : 2-4 pour souligner comment ces épreuves ont renforcé leur détermination plutôt que de l'affaiblir. "Mes frères, regardez comme un sujet de joie complète les diverses épreuves auxquelles vous pouvez être exposés, sachant que l'épreuve de votre foi produit la patience. Mais, il faut que la patience accomplisse parfaitement son œuvre, afin que vous soyez parfaits et accomplis, sans faillir en rien."

Le fondateur a également exprimé sa gratitude envers ceux qui ont soutenu ce projet, en particulier sa femme, le pasteur Tania Ouattara, Co-fondatrice et Vice-présidente de l'Église Ambassade des Miracles et son fils diacre MOULO. Il a également remercié chaleureusement toutes les entreprises et les membres de l'Église Ambassade des Miracles qui ont contribué à la réalisation de la Cathédrale des Miracles.

L'événement a été honoré par la présence de personnalités religieuses renommées, telles que l'Archevêque Duncan Williams du Ghana, l'Apôtre Kpangui Konan Bernard (père spirituel du Bishop), l'Apôtre Yao Drah du Togo, le Bishop Timothée DJAKA, le Bishop Cesar Kassie, et l'Apôtre Georges Amoako. La révérende Jeanne Monnet a également apporté une dimension spirituelle supplémentaire à la cérémonie.

En clôture de la cérémonie, le Bishop Ouattara Mohamed Idriss a béni les participants et exprimé son espoir que la Cathédrale des Miracles devienne un lieu de grâce et de bénédiction pour tous ceux qui la fréquenteront.

Cette inauguration marque un jalon significatif dans l'histoire de l'Église Ambassade des Miracles, une démonstration de foi, de persévérance et de détermination. La Cathédrale des Miracles promet de devenir un phare spirituel et un lieu de rassemblement pour les fidèles dans les années à venir.

D.A

S'abonner à ce flux RSS