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Mara’monde : Après la défaite des siens face au Brésil / Le coach malien fustige l’arbitrage

le coach du Mali Mamadou Coulibaly et le capitaine Sidibé Rafan lors de la Conférence de presse le coach du Mali Mamadou Coulibaly et le capitaine Sidibé Rafan lors de la Conférence de presse

Battu 2-4 par le Brésil lors de leur première sortie de la Mara’monde  ,  ce dimanche 29  septembre ; au Palais des Sports à Treichville,   le coach du Mali Mamadou Coulibaly a fustigé l’arbitrage. Il l’a fait savoir en conférence de presse d’après match.

«  Je vais parler sans langue de bois.  Le Maracaña c’est notre  fête. Que la compétition se déroule donc  sur des bases saines. J’ai un peu honte de ce que j’ai vu ce soir. C’est vrai que le Brésil est un pays mythique du football, il n’a -as démérité sa victoire mais j’ai l’impression que tout était fait pour que le Brésil gagne. Excusez-moi de parler comme ça parce que l’arbitrage n’était pas du tout à la hauteur de l’évènement. Je  suis désolé de voir que cette Coupe du monde qui devait regrouper la crème des marcandiers du monde   se passe ainsi.  Si le Brésil a été invité pour qu’il aille très loin, que ça se fasse  dans l’art des choses. Ils savent très bien jouer au ballon, le Mali aussi oui. Nous connaissons très bien les règles du Maracaña. On les maitrise totalement. Ce qu’on a vu aujourd’hui est tout simplement honteux.  Bravo  au Brésil. L’organisation que nous avons vue au départ  nous avait totalement rassurés.  Mais avec ce que nous avons vu aujourd’hui, nous sommes dans le doute.  Les arbitres sont suffisament aguerris pour savoir c’est quoi la simulation  c’est quoi la  faute.  Ce qu’on a vu aujourd’hui, ce sont de véritables fautes simulées. On ne pouvait pas jouer. On connait les règles du Maracaña, le Mali a été deux fois champion d’Afrique. Aujourd’hui, ce qu’on a vu était tout sauf du Maracaña. Je suis vraiment désolé pour mon sport. En infériorité numérique, le Mali a réussi  à réduire le score. Puisque le Mali commençait à revenir dans le match, il fallait tout simplement faire sortir quelqu’un. Et les fautes que les Maliens faisaient ; ce sont les mêmes fautes que les Brésiliens faisaient. Mais je ne sais pas. Je n’ai pas l’habitude de parler de l’arbitrage mais aujourd’hui, on est dans une coupe du monde », a récriminé le coach du Mali qui pense qui pense qu »il ya encore quelque chose à faire.

Patricia Lyse

 

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